C’est ce qu’a déclaré le coprésident américain James Warlick à l’issue des entretiens des médiateurs avec les autorités azerbaïdjanaises à Bakou. Selon lui, aujourd’hui la situation dans la zone du conflit diffère sensiblement de celle que l’on avait il y a deux ans. Pour la première fois, on a été témoin de l’usage de l’artillerie, qui a coûté des vies humaines. « La tension augmente chaque jour et il est très important que lors de leur prochain sommet, les présidents se penchent sur ce point », a-t-il dit. Selon lui, à Erevan comme à Bakou, les médiateurs ont appelé les Présidents à préparer leur société à la paix et non à la guerre.
RFE/RL