Donald Trump est forcé de changer sa philosophie politique adoptée et de faire des concessions


Donald Trump est forcé de changer sa philosophie politique adoptée et de faire des concessions

  • 20-02-2017 17:08:52   | Arménie  |  social

Monsieur Donald Trump, président des Etats-Unis, a apparu dans une situation qui le force de changer sa philosophie politique adoptée et de faire des concessions. Un tel avis a partagé le 17 février lors de la rencontre avec les journalistes Areg Galstian, directeur et rédacteur en chef du centre scientifique et analytique «American Studies», expert du Conseil russe des relations internationales, correspondant des magasins «Международная жизнь» (Vie internationale), «Россия в глобальной политике» (La Russie dans la politique globale), «The national Interest», «Forbes», candidat ès sciences historiques et historien, ayant recours aux résultats du gouvernement du président des Etats-Unis pendant un mois.
 
D’après lui, D. Trump se trouve dans une grande pression  après la démission de Mihael Flynn, conseiller du président sur les questions de la sécurité nationale, et il a maintenant deux issues de cette situation: «Ou Trump fera certaines concessions et se mettra à consulter avec la direction de son parti, accomplissant en même temps les demandes du parti démocrate, de sorte il cessera d’être un président suprême qui se fout de l’opinion publique et des mass-média, et donc il suivra les ordres que doit suivre le président des Etats-Unis, ou bien le congrès accusera Trump et ce sera le premier pas de sa démission», a-t-il dit soulignant que le président américain comme homme d’affaire, évaluera tous les risques et choisira la première version.
Selon A. Galstian, cela est attesté par le rhétorique de D. Trump sur certaines questions comme celles des émigrés et la suppression des moyens de punition envers la Russie.
Par les paroles de l’expert, durant un mois de son gouvernement Trump a signé 26 édits dont 24 ont été bloqués, en plus deux entre eux étaient bloqués par la Cour suprême, donc il n'a d'autre issue que de faire des concessions.
«Actuellement Trump est forcé de se défendre, ainsi il fait des annonces qu'il n'aurait fait autrefois. Il annonce surtout que la condition de la suppression des moyens de punition envers la Russie est le retour de la Crimée à l'Ukraine et la confirmation du régime de cessez-le-feu à l'orient de l'Ukraine», a dit A. Galstian.
Ayant recours à l'activité des organisations lobbyistiques arméniennes dans la situation créée, il a noté que celles-ci n'ont eu aucun intérêt pour les élections à l'étape électorale car elles avaient adopté une autre stratégie.
A.Galstian trouve inexplicable le fait que les organisations lobbyistiques arméniennes, prêtant maintenant attention à l'élection du congrès et de l'administration autonome, avaient adressé une lettre au président des Etats-Unis, lui faisant appel à donner le 24 avril sa position concrète sur le Génocide arménien.
D'après le rapporteur, le Génocide arménien ne sera adopté par les Etats-Unis autant qu'il se trouve au niveau politique et qu'il est servi comme instrument dans les mains de la Turquie.
 
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